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Critique Anime : Overlord Saison 1 - AnimOtaku

Critique Anime
OVERLORD SAISON 1

DISCLAIMER : cette critique de l’anime Overlord Saison 1 est purement subjective et ne représente que notre avis.

N’hésitez pas à nous partager le vôtre dans l’espace commentaire.

Œuvre originale : KUGANE MARUYAMA

Studio d’animation : MADHOUSE

Nombre d’épisodes : 13

En streaming sur : ADN / Netflix

Introduction à la saison 1 de Overlord

Lors de la création d’une œuvre, quelle qu’elle soit, l’originalité est presque indispensable. Il est crucial de ne pas rebuter le lecteur avec des éléments qu’il aurait vus et revus auparavant, des éléments plus communément appelés « clichés ». Mais si je vous disais qu’une œuvre clichée pouvait tout de même avoir du potentiel, me croiriez-vous ?

Bienvenue dans cette critique de l’anime Overlord Saison 1.

Disclaimer : Ceci est une critique subjective, elle ne peut donc pas représenter la réalité ; un avis sur une œuvre n’a jamais que la valeur que vous lui accordez en tant que lecteur.

Synopsis de overlord

Alors que le célèbre MMORPG nommé Yggdrasil s’apprête à fermer ses serveurs, Momonga décide de passer ses derniers instants sur le jeu. Mais à sa grande surprise, rien ne se passe.

Le jeu semble toujours fonctionner, et de surcroît, les PNJ semblent avoir pris vie ! Avec leur nouvelle conscience fraîchement acquise, ils considèrent Momonga comme leur souverain absolu ainsi que leur sauveur.

Cherchant à élucider ce mystère, Momonga – ou Ainz – va chercher à prendre le contrôle de ce nouveau monde, dans l’espoir de retrouver des joueurs dans le même cas que lui.

Au premier coup d’oeil, l’histoire d’Overlord semble très similaire à celle de Sword Art Online. Mais là où Kirito était un joueur parmi tant d’autres (si l’on excepte sa tricherie), ici Momonga est seul.

Il est l’unique joueur du jeu, chef de la guilde la plus puissante du serveur, et il surpasse donc tous les autres en terme de puissance pure. Dans cet anime, il n’est donc pas question de progression, mais bien d’exploration et de problématiques autres que la quête de pouvoir.

Overlord est construit sous plusieurs arcs avec des sous-intrigues, qui servent généralement à développer les personnages secondaires. Et à titre personnel, bien que cela ne fasse pas avancer l’histoire, j’ai beaucoup apprécié les quelques épisodes avec Momon et les aventuriers. Une routine s’installait, ça m’a rappelé le début de SAO et c’était reposant.

L’histoire se permet également des moments de comédie dans un univers présenté comme sérieux, et ces moments sont rafraîchissants car bien exécutés. Ils ne cassent pas le rythme de l’épisode et sont toujours agréables à voir.

Overlord joue majoritairement sur les clichés pour proposer du fanservice : et pour cause, cet anime est très satisfaisant à regarder. Là où d’autres œuvres auraient peur des stéréotypes et les éviteraient au maximum pour éviter la redondance, Overlord les met à profit pour amuser et divertir les spectateurs.

Le jeu vidéo en ligne dans un futur proche, le personnage principal surpuissant, les serviteurs attitrés avec des personnalités très marquées, les jumeaux genderswap (avec des genres inversés), la femme qui est en adoration du personnage principal, la rivalité entre les deux femmes pour savoir qui va pécho le héros… ces aspects m’ont pour la plupart amusé, mais ils risquent également d’en rebuter plus d’un. Libre donc à chacun d’aimer l’univers ou non.

L'ANIMATION

J’ai trouvé l’animation d’Overlord très bonne dans son ensemble. Plus particulièrement les couleurs, qui sont à la fois vives et visuellement attirantes.

Aucun épisode ne se démarque réellement des autres si l’on excepte les quelques passages avec la CGI (qui était certainement nécessaire vu le nombre de monstres à animer), mais cette dernière n’a pas du tout dérangé mon plaisir de visionnage. C’est fluide, dynamique, captivant et ça colle bien à l’univers.

Les effets de lumière sont également très réussis, aussi bien dans les décors que dans les effets de magie. L’atmosphère se vit, la surbrillance se ressent et l’image reste globalement très bien dosée.

LE SOUND DESIGN

Le sound design d’Overlord est globalement satisfaisant. Les épées qui se dégainent, les cris des monstres, les bruitages de magie, tout était bien réalisé.

Les musiques sont également très réussies : elles rappellent les MMO des années 2010-2015 avec des violons bien rythmés, des cuivres évoquant le côté medieval fantasy et des chœurs absolument grandioses. Rien à dire sur la bande originale, elle colle parfaitement avec l’ambiance de cet univers.

Les openings et endings figurent sûrement parmi mes musiques préférées de cet anime. Les groupes MYTH & ROID et OxT ont fait un excellent travail, donnant à cette série une identité propre et facilement identifiable d’un point de vue sonore.

Les riffs à la guitare électrique, les instruments électroniques style dubstep, l’autotune ou encore le piano psychédélique, tout concorde pour donner une bande-son plus que plaisante.

LES PERSONNAGES

L’histoire est racontée du point de vue de Momonga, et il est intéressant de constater que son rôle dans le jeu vidéo a un impact non négligeable sur son esprit humain.

Il ne fléchit plus devant le sang ou la violence, ne mesure plus la valeur d’une vie, et gagne en assurance et en prestance ; en d’autres termes, il perd de son humanité au profit d’une personnalité de leader charismatique, un peu à la manière d’Erwin Smith dans Shingeki no Kyojin.

Toutefois, ce petit bonhomme reste attachant car on sait constamment qu’il ne pense pas ce qu’il dit, pour le seul bien de ses serviteurs.

Et parfois, ces derniers anticipent carrément ses pensées et s’expriment à sa place, ce qui l’empêche indirectement de leur mentir. J’ai trouvé ça mignon. J’ai trouvé un squelette magique géant TRÈS MIGNON.

Mais malgré une histoire très axée sur le personnage principal, les secondaires sont également très vivants. La plupart des sous-fifres de Momonga sont des personnifications de péchés, à l’image des personnages de Seven Deadly Sins : cela permet de les caractériser facilement, sans pour autant trop se fouler à l’écriture.

C’est à la fois un point positif et un point négatif selon moi, car ce procédé joue sur la frontière entre la simplicité et la cohérence scénaristique. Difficile donc d’en dire du mal sans être enclin à la mauvaise foi.

L’avis de Aura

Critique de l’anime Overlord Saison 1

Note de la redac
8/10

Si vous cherchez un anime détente, sans prise de tête et sans trop d’implication émotionnelle, Overlord est peut-être fait pour vous, surtout si vous êtes amateur de MMO. Vous y retrouverez sans doute des références et des thèmes qui vous feront sourire.

Que cette œuvre vous plaise ou non, laissez-lui au moins sa chance ! C’est peut-être une bonne expérience qui vous attend au-delà des premières minutes.

Personnellement, j’ai adoré l’ambiance et l’univers de cet anime, et je le conseillerais à quiconque chercherait quelque chose de moins « niais » et enfantin que Sword Art Online.

Merci d’avoir lu cette critique de l’anime Overlord Saison 1, nous vous souhaitons un bon visionnage !

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